Des solutions adaptées à votre situation
Entre le statut d'étudiant et la nationalité étrangère, les banques traditionnelles peuvent sembler frileuses. Mais il existe des voies moins conventionnelles pour financer l'acquisition d'une PME.
Certains étudiants que nous avons accompagnés ont exploré le prêt d'honneur – sans garantie personnelle – ou se sont tournés vers des dispositifs régionaux qui soutiennent l'entrepreneuriat des nouveaux arrivants. D'autres ont mobilisé leur réseau familial à l'étranger, combinant apport personnel et crédit vendeur.
L'accompagnement commence par une analyse : combien pouvez-vous réellement rassembler ? Quel type d'entreprise correspond à votre budget et à vos compétences ? Et surtout, comment structurer votre dossier pour rassurer les différents interlocuteurs.
Ce qu'il faut anticiper
Votre statut administratif
Titre de séjour étudiant, autorisation provisoire de travail... Votre situation administrative détermine en partie vos possibilités. On clarifie tout ça ensemble avant de monter le dossier.
Le plan de financement
C'est la pièce maîtresse. Apport personnel, prêt bancaire, crédit vendeur – chaque euro doit être justifié. On travaille sur des projections réalistes qui tiennent la route face aux organismes de crédit.
Votre réseau professionnel
Racheter une entreprise quand on sort des études, c'est audacieux. Mais avec les bons mentors et un accompagnement adapté, plusieurs de nos clients y sont parvenus. Le réseau compte énormément.
Ils ont franchi le cap
Léonard Vautrin
Commerce alimentaire, LyonJ'avais un titre de séjour étudiant et 15 000 euros d'économies. wilocorayxo m'a aidé à structurer mon dossier avec un crédit vendeur étalé sur trois ans. Aujourd'hui, je gère une épicerie fine qui tourne bien.
Séraphine Duhamel
Agence de traduction, NîmesCe qui m'a vraiment aidée, c'est qu'ils ont pris le temps d'expliquer chaque étape. Entre mon statut d'étudiante étrangère et les subtilités administratives françaises, j'avais besoin de quelqu'un qui connaisse le terrain.